Juneshop est une marque de prêt-à-porter féminin créée par Nelly Mbonou en 2001. Autodidacte, cette jeune femme originaire du Cameroun commence par confectionner des sacs de plage en wax. Elle développe ses compétences et travaille ensuite des coupes de plus en plus complexes.
C’est en 2006 qu’elle ouvre la première boutique ethnique parisienne, entre le quartier touristique de Montmartre et l’avenue de Saint Ouen. Le « Juneshop » devient alors un véritable lieu de rencontres et de créations.
Nelly Mbobou y invite des artistes « coups de coeur »afin qu’ils puissent eux aussi disposer d’un espace et d’un public pour présenter leurs créations.
Ce public est la définition même de la diversité !
Véritable melting pot, on croise autant de bobos parisiennes, mamas africaines et BCBG.
L’évolution de Nelly Mbonou et de sa boutique Juneshop ne s’arrête pas là ! En 2010, alors qu’elle passe le concours Jeunes Créateurs elle se voit remettre le 1er prix par VLISCO, producteur historique de wax hollandais.
Son engagement éthique
Originaire du Cameroun, elle s’inspire de sa culture pour créer des tenues chics et uniques, mêlant Afrique et Occident. Elle valorise l’Ethno-Chic pour toutes les fashionistas et toutes les silhouettes.
Ce diaporama nécessite JavaScript.
Ethiques, les créations Juneshop aident à développer l’activité économique et les savoirs-faire du Cameroun. Les matières premières utilisées y sont produites. Et les collections sont réalisées dans un atelier équitable de Yaoundé.
Pour plus d’informations ou pour vous procurer des tenues Made In Juneshop, rdv avec Nelly Mbonou au salon My Foul’Art le 8 octobre prochain !
Infos pratiques
Entrée au salon : 5,99€ sur Weezevent
PARC NAUTIQUE ILE MONSIEUR
4 Rue de Saint-Cloud- 92310 SEVRES
Ligne 9 station « Pont de Sèvres » puis 5 min à pieds
Tramway 2 station « Musée de Sèvres » puis 2 min à pieds
C’est un homme dynamique et passionné qui nous fera l’honneur d’être présent au salon My Foul’Art du 8 octobre prochain.
Passionné par les mutations sociologiques planétaires, les cultures différentes (il voyage beaucoup par la cuisine), intéressé par la politique au sens noble du terme, il passe ses temps libres autour de la pratique musicale, la lecture, le cinéma, le bricolage, les sports « doux » (randonnée, cyclisme,ski) et la photographie.
Ainsi il se dévoile.
Et c’est à travers la photographie qu’il partage avec nous ses opinions, ses découvertes et ses réflexions.
Photographe autodidacte Bernard Duffour arrive à capter des moments précieux.
Avec l’exposition « Moi, mon foulard », que vous aurez la chance de découvrir le 8 octobre, il raconte une histoire : celle d’une relation entre l’Homme et le foulard, symbolisé comme étant porteur de nos identités, comme les drapeaux de nos individualités.
Le foulard montre qui on est, mais ne cache pas.
Voiles, foulards, étoles, fichus, ceintures sont des vecteurs de nos identités culturelles, religieuses, ethniques,…
La diversité !
Voici ce qui anime Bernard Duffour. Toutes ces formes et ces couleurs de tissus, ces religions, ces traditions,… amène à une curiosité bienveillante. La diversité devient partage, rencontre,… »la belle vie quoi ! »
…avec un bout d’étoffe, certains se couvrent, moi je me découvre
Portrait d’une société : L’exposition « Moi, mon foulard »
Photo par Bernard Duffour – Moi, mon foulard
Ce projet s’est développé dans la Maison de Quartier Coluche à Romans. C’est avec la collaboration de quelques habitués de la Maison de Quartier que ce projet est né.
Le panel sélectionné était alors une représentation réaliste de la population que l’on peut rencontrer dans n’importe quelle ville moyenne en France.
10 portraits ont alors été réalisés avec l’aide de l’écrivain Monique Domergue.
Elle a été un élément indispensable de l’exposition. Elle a interviewé les participants pendant parfois près de deux heures… Ensuite, elle a réécrit ces témoignages en les condensant et en leur donnant une forme littéraire commune.
Un travail de longue haleine pour un résultat inattendu. C’est une réussite et l’exposition de 2012 ne prend pas une ride. C’est même un sujet d’actualité 5 ans après son lancement.
L’exposition est reprise dans un livre paru aux éditions Hanneton. Vous pourrez vous le procurer sur place, avec en sus, une dédicace de l’artiste photographe 😉
Une expérience riche
La conception et la réalisation de cette expo a été un grand moment de ma vie. J’en suis fier et pourrais parler pendant des heures de ce qu’elle m’a apporté, de ce que j’y ai appris, de ce dont j’ai pris conscience.
Avec Monique Domergue, nous avons toujours des échanges socio-philosophiques sur le sujet, et il nous a vraiment passionné
Couvrir sa chevelure ne signifie pas la négliger contrairement aux idées reçu ! Il suffit d’y mettre du sien, mais surtout d’utiliser les produits adaptés.
L’équipe My Foul’Art vous propose de découvrir la marque Nümi by Hind, une toute nouvelle gamme de soins capillaires à destination des cheveux bouclés, frisés et crépus.
TouS les secrets sont dans la nature
Une formulation inédite d’infusions botaniques vertueuses pour redonner force et vitalité aux cheveux naturellement secs et fragiles.
Laissez-vous transporter par les notes sucrées de nos soins et venez vivre une expérience inégalée de bien-être et de douceur.Hind
Convaincue du pouvoir extraordinaire des plantes dans les cosmétiques, Hindaty , portée par ses valeurs humaines et environnementales, crée des soins capillaires de qualité, à base d’ingrédients naturels.
L’aventure commence 2010, une utilisation personnelle qui s’est très vite répandu à la famille et aux amis. Devant un tel engouement, elle crée Nümi by Hind, parce que « vous le valez bien…:-) »,
Le fait d’avoir pris soin de moi et de mes cheveux m’a permis de gagner en confiance mais surtout de me sentir enfin bien dans ma peau
Soigner sa crinière pour gagner en estime de soi, car on ne va pas se mentir discipliner cette masse sans pour autant les nourrir de détartrants ultra agressif n’est pas choses aisés. Nous avons toutes besoin de conseils et d’une utilisation optimale de nos soins quotidiens.
Et nous on est sûre que parmi cette palette, se trouve la clé à vos soucis capillaire et vous sentir plus GIRL POWER que jamais!!!
Huile-Croissance aux 9 Infusions Botaniques
Shampoing Douceur des Plantes
Masque-Soin aux Plantes Naturelles
Spray Hydratant aux Eaux Florales
Lait Capillaire – Infusion Hydra
Beurre Nutritif Gourmand
Crème Coiffante – Botanical Garden
Prenez le temps de poser toutes vos questions à Hind, qui se rendra disponible rien que pour vous 8 Octobre prochain au salon My Foul’Art!
« Non mais toi, tes locks, elles sont belles, c’est pas comme on en voit d’habitude«
« Mais, tu peux te laver les cheveux ?«
« J’aimerais bien m’en faire. Mais j’ai peur… Puis j’aime trop changer de coupe !«
« Tu fais quoi si t’as envie de changer de coiffure ? Tu coupes tout ?«
« Ils sont longs tes cheveux ! C’est des faux ?«
ASSEZ !
Les locks… un mystère. Beaucoup ne savent pas ce que c’est, comment elles se créent, et comment les entretenir.
Elles trainent en plus derrière elles une image qui fait tache. Les préjugés persistent.
Heureusement, Locksy Lene, en digne représentante, s’est attribué comme mission de valoriser cette coiffure magnifique, sa couronne (comme elle l’appelle).
Non, les locks ne sont pas des noeuds créés par la négligence, l’incapacité et l’oubli.
Les locks, c’est un travail de longue haleine, de patience et d’amour.
Beaucoup d’amour 🙂
Sur son blog, son compte Facebook ou sur Instagram, vous pourrez trouver toutes sortes de conseils et d’astuces pour l’entretien des locks, que vous soyez baby locksé, futur locksé, … ou juste curieux.
Des soins fait maison au port du foulard, tout est retracé.
L’indispensable accessoire
L’attaché de foulard tient une part importante dans la vie des locksés. Il permet d’embellir une coiffure, d’apporter une touche de couleur à leur tenue et de protéger leur cheveux de l’ennemi n°1 des locks : la poussière ! (Cela est aussi valable pour les porteuses de rajouts)
Rien d’étonnant à ce que Locksy Lene vous propose des tutos Youtube sur le sujet :
Quand bogolove Paris te sollicite pour un attaché de foulard simple et rapide avec le tissu noble : le BOGOLAN ça donne ça !
Je vous invite à vous abonner à sa chaîne Youtube pour plus de vidéos !
Une discussion s’impose
Les lockticiens (professionnels des locks) étant encore rares, profitez de la présence de Locksy Lene au salon My Foul’Art du 8 octobre pour lui poser toutes vos questions même le plus farfelues. Elle vous y attendra de 14h à 16h30 environ.
Infos pratiques
Entrée au salon : 5,99€ sur Weezevent
PARC NAUTIQUE ILE MONSIEUR
4 Rue de Saint-Cloud- 92310 SEVRES
Ligne 9 station « Pont de Sèvres » puis 5 min à pieds
Tramway 2 station « Musée de Sèvres » puis 2 min à pieds
Une Slamladysta est une femme libre avec un état d’esprit positif qui se reflète dans son style et dans sa manière de s’habiller
Et quoi d’autre me direz-vous? Alliant pudeur et modernité Slam Lady est la boutique en ligne qui a pensé à toutes ces femmes désirant s’habiller avec pudeur tout en y apportant une touche tendance et élégante.
D’une ambition personnelle est née une marque qui milite pour le droit de s’habiller en accord avec ses valeurs. Se vêtir modestement n’est plus synonyme d’enfermement, mais bien de délicatesse.
Venez à notre rencontre et découvrez comment attacher nos maxi foulards extensibles et adopter nos turbans dont vous ne pourrez plus vous passez!
Fanta
L’automne est là mesdames, le temps est venu de rafraîchir votre dressing, Slam lady vous proposera un éventail de vêtements rigoureusement sélectionnés rien que pour vous, retrouvez toutes ses créations , le 8 Octobre prochain au salon My foul’Art!
Nos origines nous inspirent et certaines en font un art!
Que celle qui ne s’est pas arraché la tête, que dis-je le foulard en essayant de le nouer à la manière d’une pro me jette la première pierre hein…!! C’est que d’essayer de faire tenir un bout de tissus n’est pas chose aisé, faire en sorte qu’il ne glisse pas, éviter un énorme mal de crâne et surtout d’avoir du style, ça s’apprend et pour vous chez My Foul’Art, on a déniché une perle, Rasmia Barbara, fondatrice d’Atelier Maïcha.
Maïcha signifie vie en swahili, et voilà 10 ans qu’elle en a fait son mode de vie, cette passion est née de ses inspirations, sa Maman qui la pousse à œuvrer, de ses racines Les Comores, et de son artiste fétiche Omar Victor Diop.
Célébrer la vie, donner espoir et un sourire à chaque visage que j’aurais l’occasion de rencontrer
Bonheur et évasion en perspective, mais plus que des mots, je vous laisse admirer en image
Tissus Lesso et Shiromani des Comores
La ravissante Anlya, blogueuse mode a adoptée le nouage par Atelier Maïcha
Comment adopter un look urbain plein de fraicheur? rien de plus simple! Rendez-vous le 8 Octobre prochain au salon My Foul’Art .
Récupérer des feuilles de mûriers d’excellente qualité et les couper en petits morceaux…
Non, il ne s’agit pas là de la dernière recette vegan à la mode. Mais plutôt du travail de Bernard Perret.
Ce dernier est sériciculteur.
« Qu’est-ce que c’est ?! » Me direz-vous…
La sériciculture, c’est l’élevage de vers à soie.
« Mais pourquoi faire ? »
Que vous êtes curieux ! 🙂
Explications : La sériciculture pour les nuls
Les vers à soie sont des chenilles qui vivent sur des mûriers. En sériciculture, on récupère les oeufs pondus par la femelle (des centaines) et on les place dans une couveuse où ils sont maintenu au chaud.
Après éclosion de l’oeuf, le ver va s’alimenter de feuilles de mûrier et prendra plus de 1000 fois son poids en un mois !
La chenille va ensuite s’agripper à un support en utilisant le fil qu’elle fabrique puis va ainsi se construire un joli et confortable cocon.
Ce fil, c’est la soie !
Pour le récupérer il faudra placer les cocons dans une étuve puis les tremper dans de l’eau bouillante pour tuer la chrysalide avant qu’elle se transforme en papillon et ne détruise le fil en perçant le cocon.
On pourra ensuite récupérer ce qu’on appelle dans le jargon, la soie grège ou soie brute.
Après plusieurs phases préparatoires (torsion, nettoyage, teinture, tissage…) la soie devient cette matière première que l’on connait tous, nous permettant de fabriquer des vêtements de qualité et même des produits haut de gamme tels que les carrés Hermès.
Pour ceux qui souhaitent en savoir plus sur la soie et son histoire, cliquez ICI
Q&A avec Bernard Perret !
Pour que la sériciculture soit accessible à tous, Bernard Perret va plus loin en proposant des kits de vers à soie.
Je vous laisse découvrir nos échanges :
Bernard Perret
My Foul’Art : Comment l’idée vous est-elle venue de créer et commercialiser des kits de vers à soie ?
Bernard P. : Je n’ai eu qu’à continuer ce que je faisais déjà à l’Unité Séricicole et ainsi développer ce savoir-faire.
J’exerce cette activité depuis juin 1981 en tant que technicien à l’Unité Nationale Séricicole de la Mulatière (sous tutelle de l’INRA ) jusqu’à sa fermeture fin 2009. Puis à mon compte depuis début Janvier 2010 en créant LYON VERS A SOIE.
—
My Foul’Art : A qui sont destinés les kits de vers à soie que vous produisez ?
Bernard P. : Aux particuliers, aux écoles, aux associations et diverses demandes
—
My Foul’Art : De quoi sont composés ces kits ?
Bernard P. : Ponte, éclosion, suivi des 4 âges larvaires, vers à soie sur le point de réaliser leur cocon, chrysalides, papillons, accouplement et pontes. Feuilles de mûriers si nécessaire.
—
My Foul’Art : D’où viennent les vers présents dans vos kits ?
Bernard P. : Ils sont produits chez moi à SOUCIEU EN JARREST (69510) à environ 20 km de Lyon
—
My Foul’Art : En admettant que j’ai dans l’optique de fabriquer mon foulard en soie, combien de temps le ver mettra-t-il pour produire la matière première ?
Bernard P. : Un ver à soie réalise son cocon en 3 ou 4 jours. Son fil peut mesurer entre 1000-1500 voire 1800 mètres par cocon en double hybride. Il faudra environ 500 vers à soie pour produire un foulard, soit environ 500 km de fil.
—
My Foul’Art : Comment traiter la soie après qu’elle ait été produite par le ver ? Quelles sont les prochaines étapes pour obtenir mon foulard en soie ?
Bernard P. : Les cocons blancs performants sont séchés dans une étuve pendant environ 10h00, si on laisse sortir les papillons, le cocon sera percé donc indévidable. Ensuite les cocons sont ébouillantés pendant 3 à 4 minutes pour les ramollir et dévidés en filature automatisée : il faudra dévider 8 à 10 cocons ensemble pour obtenir un seul fil très résistant (20 à 22 deniers). Ensuite le fil sera mouliné, (il subit une torsion pour le rendre encore plus solide). Chaque bobine de fil environ (107km) sera ensuite redévidée sur un ourdissoir pour obtenir les flottes de soie qui seront tissées sur un métier à tisser.
—
My Foul’Art : Quel est l’avenir de la soie selon vous ?
Bernard P. : La soie a un très bel avenir, et je suis maintenant convaincu qu’on pourra dans un très proche avenir relancer la sériciculture en France. Avec les outils modernes qui existent de nos jours dans tous les domaines de l’innovation (matériels et élevages), il sera beaucoup plus facile de relancer cette activité qui sera sans aucuns doutes source d’emploi.
Une bonne nouvelle pour le secteur !
Bernart Perret sera présent au salon My Foul’Art du 8 octobre prochain pour faire des démonstrations et répondre à toutes vos questions
My Foul’Art : Qu’attendez-vous de votre participation au salon My Foul’Art ?
Bernard P. : Un public qui sera enthousiasmé par la présentation que je vais réaliser.
Vous pouvez aussi le contacter par mail à l’adresse suivante : contacter.bernard-perret@hotmail.fr. Ou par téléphone au 06 07 21 58 25.
Jeune femme de 19 ans, passionnée de mode, Aidat a su développer sa fibre artistique dès son plus jeune âge.
C’est en regardant son père confectionner ses vêtements qu’elle a eu envie de suivre ses pas. Ou plutôt, de tracer son propre chemin !
Je me suis dit, pourquoi ne pas faire la même chose que lui, mais avec plus de folie.
Dès le CM2, elle se met à imaginer, dessiner et créer des tenues en utilisant les chutes de tissus récoltés chez elle. Mais c’est à l’école qu’elle a appris a confectionner et perfectionner les vêtements.
Mon premier croquis je l’ai réalisé en CM2 pour une copine, c’était une robe longue bleue.
Ma première création c’était à l’école, une petite robe d’enfant, c’était le premier exercice qu’on nous avait donné à réaliser en seconde ; c’était la première fois que je réalisais une création de A à Z.
Aidat et la haute couture
Aidat Sh
Aidat a maintenant son nom de marque, ses fans et followers.
Vous pouvez la suivre sur Instagram
Comme un rêve de petite fille, elle souhaite grandir et évoluer dans la haute couture, pour un jour, devenir membre permanent de la Chambre Syndicale de la Haute Couture Parisienne
Pour ça, elle a bien compris qu’il fallait s’entourer des bonnes personnes :
Je travaille avec mon associé, Azhar Moumini, qui est le premier à avoir vu du potentiel et à croire en mes créations.
Aidat et Azhar
Success story : un avenir prometteur
Ma plus grand fierté est de rendre fière ma famille, et qu’ils me soutiennent à fond.
Aidat fait déjà parler d’elle. Douée et talentueuse, ses créations sont travaillées, osées, originales.
Lors du concours Miss Afrique France international 2017, elle a habillé Nejma Saindou, miss Comores, et lui a offert une opportunité en or pour briller parmi ses concurrentes.
Sa classe et son style raffiné mélangeant tradition et modernité lui ont permis de se démarquer. C’est ainsi qu’elle s’est qualifiée pour la finale !
A cette occasion, Aidat a rencontré François Durpaire, historien et écrivain spécialisé dans les questions d’éducation, de citoyenneté et de diversité culturelle aux États-Unis et en France. Ce dernier a lui aussi vu son potentiel.
Ma plus grande réussite jusqu’à présent est le fait qu’un grand journaliste comme François Durpaire me complimente sur mon travail en me disant que j’ai du talent.
Un univers inspiré de tout, même des plus grands
Robe Ivoire- Aidat
Parmi ses créations reconnues et récompensées on retrouve la robe Ivoire qui a été réalisée pour le concours McArthur Glen à Troyes. Ce chef d’oeuvre lui a valut la troisième place devant 247 participants.
Notre jeune créatrice s’inspire de stylistes tels qu’Olivier Rousteing, Guo Pei, ou encore Alexander McQueen.
Et, plus surprenant, de films et de personnages comme les « méchantes de telenovelas » avec la robe Patrona.
Robe Patrona- Aidat
Son côté structuré nous rappelle les costumes d’époque, revisités, modernisés.
Elle joue avec la transparence et dévoile la sensualité de la femme.
Le voile noire, quant à lui, fait planer le mystère et rend plus sensuelle encore cette tenue.
Que cache-t-il ?
Une chose est sûre, il attise la curiosité.
La Patrona nous emmène dans un univers sombre et poétique.
Somptueux !
Aidat et My Foul’Art
Vous pourrez admirer quelques-unes de ses créations le 8 octobre lors du défilé.
Avec Azhar, ils espèrent vous émerveiller et vous surprendre. Mais aussi, vous faire comprendre qu’en 2017, on peut allier tradition, foulard et originalité.
Intemporel et mythique, l’accessoire de mode indispensable, tel un tableau de peintre le mouchoir de cou révèle les talents.
L’ambitieuse Lucie a choisi cette toile pour communiquer son art.
Ode à la femme, puissante et sensuelle, elle nous emporte dans un univers où se mêlent féerie et monde sauvage.
On aime ces carrés énigmatiques, qui ajoutent à votre tenue une touche de magnifique !
Retrouvez Lucie et ses sublimes créations au salon My foul’Art le 8 Octobre sur l’île Monsieur à Sèvres!
Parce que chacune de ses créations est réalisée avec passion !
La créatrice, Mohéna, tire ses influences des quatre coins du monde et le résultat est haut en couleur. Chaque bijoux est unique et est réalisé avec minutie pour nous apporter un look ethnique-chic d’enfer et surtout exclusif !
Un peu d’Afrique à Montmartre
Son aspiration pour le continent africain est telle, qu’avec trois acolytes elle créé un événement unique dans un lieu chargé d’histoire « Montmartre ». C’est là même où fut tourné l’une des scènes culte du film « Amélie Poulain », qu’une flopée d’artistes ont répondu à l’appel du collectif.
L’objectif : promouvoir l’innovation culturelle.
Design intérieur, alimentation, cosmétique, bijoux, mode et street style, douze jours rythmés par des animations, des ateliers, des échanges, pour mieux apprécier ces nouveaux talents.
Pour découvrir l’univers enluminé d’Ohéa Création, rendez-vous samedi 9 septembre, de 10h30 à 19h30, à la vente privée Leeloo Paris : 69 avenue Daumesnil, Paris 12e Métro Gare de Lyon