Raphia, Faso dan fani, Colicot, Bogolans, Batik et bien d’autre, cela ne vous dit peut être rien! Et pourtant, ses tissus font partis de la richesse du Continent.
Composé de coton, de feuille de palmier, de soie, aux motifs multicolores et traditionnels, une gamme large dédier aux créateurs les plus pointus, qui s’illustrent pour redorer ces emblèmes, car plus qu’une étoffe, c’est un patrimoine!
C’est porté par ces valeurs, que Diaba, crée L’atelier SANAA KAN , marque de vêtement haut de gamme modeste made in Africa,
Je souhaite collaborer avec les artisans africains afin de promouvoir leur savoir-faire et par la même occasion nos tissus qui ont une histoire qui ne demande qu’à être connue et reconnue. Diaba
Retrouvez en exclusivité les créations de L’Atelier Sanaa Kan, lors de notre défilé ce dimanche 8 Octobre au salon My Foul’Art.
Nos origines nous inspirent et certaines en font un art!
Que celle qui ne s’est pas arraché la tête, que dis-je le foulard en essayant de le nouer à la manière d’une pro me jette la première pierre hein…!! C’est que d’essayer de faire tenir un bout de tissus n’est pas chose aisé, faire en sorte qu’il ne glisse pas, éviter un énorme mal de crâne et surtout d’avoir du style, ça s’apprend et pour vous chez My Foul’Art, on a déniché une perle, Rasmia Barbara, fondatrice d’Atelier Maïcha.
Maïcha signifie vie en swahili, et voilà 10 ans qu’elle en a fait son mode de vie, cette passion est née de ses inspirations, sa Maman qui la pousse à œuvrer, de ses racines Les Comores, et de son artiste fétiche Omar Victor Diop.
Célébrer la vie, donner espoir et un sourire à chaque visage que j’aurais l’occasion de rencontrer
Bonheur et évasion en perspective, mais plus que des mots, je vous laisse admirer en image
Tissus Lesso et Shiromani des Comores
La ravissante Anlya, blogueuse mode a adoptée le nouage par Atelier Maïcha
Comment adopter un look urbain plein de fraicheur? rien de plus simple! Rendez-vous le 8 Octobre prochain au salon My Foul’Art .
Parce que chacune de ses créations est réalisée avec passion !
La créatrice, Mohéna, tire ses influences des quatre coins du monde et le résultat est haut en couleur. Chaque bijoux est unique et est réalisé avec minutie pour nous apporter un look ethnique-chic d’enfer et surtout exclusif !
Un peu d’Afrique à Montmartre
Son aspiration pour le continent africain est telle, qu’avec trois acolytes elle créé un événement unique dans un lieu chargé d’histoire « Montmartre ». C’est là même où fut tourné l’une des scènes culte du film « Amélie Poulain », qu’une flopée d’artistes ont répondu à l’appel du collectif.
L’objectif : promouvoir l’innovation culturelle.
Design intérieur, alimentation, cosmétique, bijoux, mode et street style, douze jours rythmés par des animations, des ateliers, des échanges, pour mieux apprécier ces nouveaux talents.
Pour découvrir l’univers enluminé d’Ohéa Création, rendez-vous samedi 9 septembre, de 10h30 à 19h30, à la vente privée Leeloo Paris : 69 avenue Daumesnil, Paris 12e Métro Gare de Lyon
Jeune femme pleine de peps, Sophie Thouvenel nous fera l’honneur de défiler au salon My Foul’Art, le 8 octobre prochain à Sèvres.
Mais qui est-elle ?
Son CV en bref
Mannequin, Ingénieur en environnement, Réalisatrice, Fondatrice et Présidente de l’association Hirondelle de l’avenir, …
Ca fait beaucoup pour une seule personne me direz-vous.
Mais sa motivation est sans pareille.
Femme empathique, elle oeuvre pour faire de demain un monde meilleur.
Très touchée par la cause africaine, elle vient en aide à la population béninoise à travers son association Hirondelle de l’Avenir. Mais aussi, en dénonçant des situations par le biais de documentaires.
Le prochain portera sur les femmes enceintes d’origine africaine en grande situation de précarité à l’hôpital Lariboisière.
Et parce qu’elle n’en fait jamais assez, avec son associée Amélie, elle a fondé une agence de production audiovisuelle spécialisée en conseil en image et stratégie événementielle dans le domaine de la mode et des médias : Photocall Agency
Amélie et Sophie
Et dire que les journées ne font que 24h !
On encourage Sophie et on lui donne rdv le 8 octobre au salon My Foul’Art pour échanger avec elle sur ses projets !
Parce qu’il fait parti des tissus traditionnels les moins exploités et parce qu’elle voulait rendre hommage à sa culture Comorienne, la Fondatrice de Vaya Lesso a décidé de créer des vêtements tendances mélangeant modernité et tradition.
Elle souhaite montrer que l’on peut porter un lesso tout en étant tendance et dans l’air du temps.
La mode ethnique gagne du terrain
Dans ses créations, le lesso apparaît par petites touches ou compose la totalité de la tenue. Mais la coupe et le style du vêtement permettent à chacun de le porter au quotidien. Hommes ou femmes.
Vaya Lesso touche ses cibles en plein coeur. Tout est beau et de qualité.
Il est difficile de ne pas craquer sur ses créations design et colorées.
En plus de nous en mettre plein la vue, Vaya Lesso, en collaboration avec le charmant Says’z, nous en met plein les oreilles.
Dans le clip Umani, on retrouve quelques-unes de ses créations.
Regardez et écoutez, vos sens en éveils…
Vaya Lesso sera présente au salon My Foul’Art le 8 octobre à Sèvres. Elle exposera et mettra en vente quelques tenues.
Rien de mieux pour vous faire une idée de ce que j’avance et vérifier par vous même la beauté des tissus, la qualité et la coupe parfaite des vêtements.
Vous pouvez aussi retrouver ses créations dans deux boutiques : OWL Paris (38 Rue Caulaincourt – 75018Paris) Chewo Couture (19 Rue Courteissade – 13100Aix-en-Provence)
Comme elle est multitâche, c’est aussi elle qui habillera les mannequins du défilé My Foul’Art.
D’ailleurs, nous recherchons actuellement les chanceux et chanceuses qui auront l’honneur de porter et sublimer ses créations :
Hommes et femmes de type eurasien et caucasien, envoyez votre candidature à droledefichu@gmail.com pour un casting dimanche 27 août (Montreuil)
Est-ce qu’il est encore nécessaire de présenter le mouvement Osez le Foulard , fondé il y a deux ans par Ange DK?
Cette jeune femme passionnée de foulards depuis son plus jeune âge, s’inspire de ses origines rwandaises pour assurer la promotion de cet art en France. Ses pièces s’arrachent comme des petits pains, essentiellement le batik!
Pour Ange, « le phénomène du foulard n’a pas de revendication politique, religieuse ou sociale. C’est surtout une démarche culturelle et esthétique qui met en avant les femmes noires. En portant cet accessoire, on renoue avec nos racines africaines. Pour moi, la femme qui porte le turban est une reine ». extrait de Madame Figaro
Si aujourd’hui, Ange s’approvisionne essentiellement en Afrique de l’Est, son but à terme est de pouvoir créer son propre atelier pour donner du travail à des femmes.
Osez le foulard sera présent Jeudi 10 novembre 2016 lors de notre soirée de lancement.
Inscription via mail (nom, prénom, nombre de place) à contact@myfoulart.com
Presse & vips : presse@myfoulart.com
Pour l’avoir déjà vu de mes yeux, je vous conseille de venir assez tôt car ses pièces partent vraiment très vite ! Je vous laisse en compagnie des photos issues de la campagne « Mwakimazi » (qui signifie reine, en kinyarwanda) lancée par Osez le foulard.
Hala Halele Gombe
Il était une fois… Maison Udjuwa
Maison Udjuwa, fondée en 2015, est une Maison de mode qui puise son inspiration dans son héritage est-africain et parisien. C’est par amour pour son pays d’origine, les Comores, archipel de 4 îles situé à l’est de l’Afrique, que naît l’envie de créer cette Maison de mode.
Udjuwa signifie « découvrir » en Swahili. Dans cette volonté de faire découvrir sa double culture, Maison Udjuwa a choisi de transposer des motifs d’inspiration est-africaines, sur le carré de soie, symbole du chic à la française.
Leurs créations sont conçues dans des matières d’exception comme la soie de Chine. Les motifs figurants sur les foulards s’inspirent et reprennent ceux du tissu « Khanga » très porté par les femmes en Afrique de l’Est, et du « Chiromani », étoffe qui habille les femmes comoriennes.
Par ses valeurs « Authenticité, Tradition et Créativité », Maison Udjuwa prône le métissage de ses deux héritages, des traditions et de la modernité.
RDV le jeudi 10 novembre 2016 pour en découvrir plus lors de notre cocktail de lancement My Foul’art, le premier salon expo dédié au foulard dans toute sa diversité !
Coloré, imprimé ou unique ; en wax, en soie, en laine, en fourrure ou en pashmina ; porté en coiffe, jeté autour du cou, sur le sac ou autour de la taille, ou parce qu’il habille avec fantaisie une simple natte… le foulard réserve mille et une facettes !
Notre défi : C’est l’occasion d’échanger et de partir à la découverte de l’autre, créer des liens entre les différentes cultures du monde, réunir les différents styles de vie liés au foulard, et enfin, rapprocher les gens grâce à ce petit accessoire universel !
17h : ouverture des portes (ateliers, exposants, débats)
18h30 : présentation du concept
18h45 : défilé
19h : cocktail presse
Un enjeu économique, social et culturel :
• Illustrer le savoir-faire, la créativité et l’artisanat
• Donner une visibilité internationale aux acteurs de l’industrie du foulard
• Renforcer le pouvoir économique de l’accessoire
• Favoriser l’intégration des populations migrantes
• Participer à la création d’une société pluriculturelle et au dialogue des cultures
• Rassembler et créer des liens pour lutter contre les clichés
• Permettre la diversité des pratiques culturelles